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L'espoir de l'infini

 

Oui, ses portraits emportent le spectateur dans un monde quelque peu tragique. Ce qui ne veut pas dire triste, non, mais un monde inquiétant d'où l'espoir n'est pas exclu et correspondant à un autre de ses thèmes, Terres inconnues, qui fait penser immédiatement à ces mots de Michel Houellebecq dans son ouvrage La Possibilité d'une île : "je marchai tout le jour, puis la nuit suivante, me guidant sur les constellations. C'est trois jours plus tard, dans les premières heures, que j'aperçus les nuages. Leur surface soyeuse apparaissait comme une simple modulation de l'horizon, un tremblement de lumière et je crus d'abord à un mirage...".

Des oeuvres qui semblent se faire écho dans une création artistique où l'extrême lucidité des auteurs est heureusemet servie par une capacité à exprimer l'immense beauté de l'infini.

 

Elisabeth Gavard, journaliste.

 

 

 

 

Au bord du réel, entre ténèbres et clarté,

entre rêve et réalité.

Entrevoir, ressentir, que d'émotions à retranscrire

et essayer de partager.

 

La douceur d'un aplat,

la violence d'une ligne brisée,

le sanglot d'une coulure,

la rage d'une griffure

et l'espoir soudain qui emporte le pinceau !

 

La peinture est un cri

La peinture est silence.

La peinture, c'est la vie dans tous ses états.

 

 

 Domidel

 

 

 

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